Combustion :
La combustion de la biomasse permet de lutter contre l’effet de serre. Le bois est une énergie propre à condition de l’utiliser avec un appareil de qualité et à haut rendement. Contrairement aux idées reçues, la combustion du bois ne dégage pas plus de gaz carbonique que sa décomposition. Dans les deux cas, le bois restitue exactement la quantité de CO2 qu’il avait absorbé. En outre, le gaz carbonique ainsi libéré par le bois est absorbé par les jeunes arbres en phase de croissance, et, par conséquent, réintégré dans son circuit naturel. En poussant grâce à la photosynthèse, toutes les essences végétales de la planète absorbent du gaz carbonique (CO2), principal gaz à effet de serre, puis fixent le carbone et rejettent l’oxygène. Chaque tonne de bois produite équivaut ainsi à 0,5 tonne de CO2 fixé !
Biomasse :
L’un des atouts de la biomasse végétale est d’être renouvelable : il n’y a pas de risque de pénurie à plus ou moins long terme, comme c’est le cas pour les énergies fossiles (charbon, pétrole …) L’accroissement biologique du bois, par exemple, est actuellement de 81 millions de m3 par an en Europe ! Disponible partout dans notre pays, quasiment produit « sur place » et stockable pendant une longue durée sans menace pour l’environnement, son bilan écologique est extrêmement favorable. Dans la mesure du possible, AGORAFLAMM vous conseille de faire appel à des exploitants locaux afin de réduire l’impact carbone lié au transport. Dans le cadre d’une gestion écoresponsable, où de nouvelles plantations renouvellent les coupes, favorisant l’entretien des forêts et limitant ainsi les risques d’incendie, le chauffage au bois participe à l’effort éco-citoyen en faveur de la planète tout en mettant son utilisateur à l’abri des crises.
Emissions de particules :
Le bois est donc l’une des énergies les moins émettrices de CO2. Sa combustion libère toutefois des polluants : oxydes d’azote (NOx), monoxyde de carbone (CO), composés organiques volatils (COV), particules fines, hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). La qualité de la combustion dépend essentiellement du type d’appareil et de son réglage, mais aussi de la qualité du combustible. Le secteur domestique (85% du bois consommé) contribue significativement aux émissions atmosphériques. Il se caractérise en effet par un important parc d’appareils anciens (supérieur à 5 ans) peu performants et polluants. Un poêle moderne rejette ainsi près de 100 fois moins de poussières qu’un feu de broussailles et 10 fois moins qu’une cheminée ouverte. Bien conscient du niveau des émissions atmosphériques, nos marques partenaires oeuvrent au quotidien pour développer et sélectionner les produits les plus respectueux de l’environnement, dans le cadre de normes européennes parmi les plus strictes, souvent plus exigentes que les normes francaises en vigueur. Contribuer à la limitation des émissions de particules dans l’atmosphère et fournir des appareils performants fait partie intégrante de l’engagement écoresponsable de votre magasin AGORAFLAMM.